La question qui se pose n’a rien d’anodin : ces arrêts de travail peuvent-ils/doivent-ils être considérés comme :
1) Un accident du travail/de service
2) Une maladie professionnelle ?
La question s’avère importante et peut être cruciale demain pour des salarié·es contraint·es de continuer à exercer leur activité et qui craignent d’être contaminés alors que le reste de la population est confinée à domicile pour éviter la propagation de l’épidémie.